En Febrero de 1975 nº287, columna 145:
El enigma de Dagoberto II (1974): Según Claude Dormoy, Histoire de la ville de Soissons (1663) capítulo XLII, pp. 272 y sg., Lydéric gran forestal de Ardenne y antepasado de los condes de Flandes, se habría casado con Rothilde, hija de Dagoberto II. Si este hecho es exacto Dagoberto II tendría pues una descendencia y es en Flandes dónde habría que buscar a ésta.
Según el sr. Gérard de Sède, el cuadro de Nicolas Poussin, los Pastores de Arcadia reproduciría un sitio, situado sobre el territorio del municipio de Arques, en el Aude. (La race fabuleuse extra-terrestre et mythologique mérovingienne, p. 32). Voy a aportar agua al molino del autor. Leemos en la reimpresión del Dictionnaire de Bretagne d’Ogée, publicado y completado por Marteville y Varin (1843), tomo I, p. 187, 1ª columna, lo que sigue: «Es en efecto probable que Poussin, que pintó varias vistas de Nantes, cuidadosamente había estudiado lugares de Clisson. Los encontramos por lo menos en la inmensa mayoría de sus composiciones. El paisaje de su cuadro de Diogène que quebranta su taza es una vista exacta del chateau de Clisson». Entonces si se mide sobre la tarjeta la distancia a vuelo de pájaro que separa Clisson 1°) de Stenay, 2°) de Arques, comprobamos que estas dos lineas son de la mismo longitud, cerca de 540 km y que forman juntos un ángulo rigorosamente recto. Dejo al Sr. de Sède, el cuidado de concluir algo que le gustará, no deduciendo nada particular, por el momento, en lo que se refiere a mí.
CORNÉLIUS.
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Texto Original:
L’énigme de Dagobert II (1974) : D’après Claude Dormoy, Histoire de la ville de Soissons (1663) chàpitre XLII, pp. 272 et sqq., Lydéric grand forestier d’Ardenne et ancêtre des comtes de Flandres, aurait épousé Rothilde, fille de Dagobert II. Si ce fait est exact Dagobert II aurait donc une descendànee et c’est en Flandres qu’il faudrait rechercher celle-ci. D’après M. Gérard de Sède, le tableau de Nicolas Poussin, les Bergers d’Arcadie reproduirait un site, situé sur le territoire de la commune d’Arques, dans l’Aude. (La race fabuleuse extra-terrestre et mythologique mérovingienne, p. 32). Je vais apporter de l’eau au moulin de l’auteur. On lit dans la réimpression du Dictionnaire de Bretagne d’Ogée, publiée et complétée par Marteville et Varin (1843), tome I, p. 187, 11 colonne, ce qui suit : «Il est en effet probable que le Poussin, qui a peint plusieurs vues de Nantes, avait soigneusement étudié les sites de Clisson. On les retrouve du moins dans la plupart de ses compositions. Le paysage de son tableau de Diogène brisant sa tasse est une vue exacte du chateau de Clisson… ». Or si l’on mesure sur la carte la distance à vol d’oiseau séparant Clisson 1°) de Stenay, 2°) d’Arques, on constate que ces deux droites sont de même longueur, environ 540 kms et qu’elles forment ensemble un angle rigoureusemnt droit. Je laisse à M. de Sède, le soin d’en conclure ce qu’il lui plaira, n’en déduisant rien de particulier, pour le moment du moins, en ce qui me concerne.
CORNÉLIUS.